L’hypothèse des sentiments de Jean-Paul Enthoven

Le Blog Lifestyle 8 février 2012 0

Les romans de Jean-Paul Enthoven sont toujours un délice. L’homme de lettre, aussi connu pour l’épisode de mauvais goût durant lequel sa conquête du moment, Carla Bruni, s’en alla avec son fils, a une écriture intelligente et sensible. ELEGANTE.

Son nouveau roman, L’hypothèse des sentiments, chez Grasset, raconte une histoire d’amour passion. Mais peut-il y avoir un roman de Jean-Paul Enthoven sans femmes?

Un livre qui tombe à pic pour la saint-Valentin.

Mot de l’éditeur:

Ce roman s’ouvre, un 23 juin, à Rome, sur un épisode « hitchcokien » et a priori sans conséquence : un bagagiste d’hôtel range, dans le coffre du taxi (dans lequel se trouve un certain Max, scénariste, en route vers l’aéroport de Fiumicino…) la valise rouge que celui-ci lui a confié, le matin-même en quittant sa chambre…Il se trouve que le bagagiste s’est trompé, et a confondu ladite valise avec celle, rigoureusement identique, d’un autre client également sur le départ… Max ne s’avisera de cette méprise qu’en arrivant chez lui, à Paris. Or, dans cette valise qui n’est pas la sienne, Max découvre des objets qui vont, chacun, jouer un rôle décisif au fil des 300 pages qui suivent…Ce qu’il trouve ? Des soieries, deux paires d’escarpins, un portrait de l’actrice Audrey Hepburn, un exemplaire d’« Anna Karénine » et… le journal intime d’une femme prénommée Marion, manifestement belle, mélancolique et sexuellement désœuvrée.A partir de là, se tisse une longue et tumultueuse histoire d’amour, de désamour, de plaisir, de mysticisme, de fantaisie. On y rencontrera un ex-banquier protestant et fou, un psychanalyste pervers, un proxénète spécialisé dans le beau monde, une voyante, un « privé », deux fantômes, la Vierge Marie, un Arménien aux mœurs douteuses, quelques Italiennes sensuelles…Dans ce roman, il est également question des grandes heures de Cinecittà, du hasard, de Stendhal, de la Russie, des palaces de Monte-Carlo, du bonheur. Mais aussi d’érotisme, d’astrologie, d’« athéisme amoureux » et de « Sentiments » si fluctuants qu’on ne sait, au final, s’ils sont sincères ou… « hypothétiques ».

 

 

 

e roman s’ouvre, un 23 juin, à Rome, sur un épisode « hitchcokien » et a priori sans conséquence : un bagagiste d’hôtel range, dans le coffre du taxi (dans lequel se trouve un certain Max, scénariste, en route vers l’aéroport de Fiumicino…) la valise rouge que celui-ci lui a confié, le matin-même en quittant sa chambre…Il se trouve que le bagagiste s’est trompé, et a confondu ladite valise avec celle, rigoureusement identique, d’un autre client également sur le départ… Max ne s’avisera de cette méprise qu’en arrivant chez lui, à Paris. Or, dans cette valise qui n’est pas la sienne, Max découvre des objets qui vont, chacun, jouer un rôle décisif au fil des 300 pages qui suivent…Ce qu’il trouve ? Des soieries, deux paires d’escarpins, un portrait de l’actrice Audrey Hepburn, un exemplaire d’« Anna Karénine » et… le journal intime d’une femme prénommée Marion, manifestement belle, mélancolique et sexuellement désœuvrée.A partir de là, se tisse une longue et tumultueuse histoire d’amour, de désamour, de plaisir, de mysticisme, de fantaisie. On y rencontrera un ex-banquier protestant et fou, un psychanalyste pervers, un proxénète spécialisé dans le beau monde, une voyante, un « privé », deux fantômes, la Vierge Marie, un Arménien aux mœurs douteuses, quelques Italiennes sensuelles…Dans ce roman, il est également question des grandes heures de Cinecittà, du hasard, de Stendhal, de la Russie, des palaces de Monte-Carlo, du bonheur. Mais aussi d’érotisme, d’astrologie, d’« athéisme amoureux » et de « Sentiments » si fluctuants qu’on ne sait, au final, s’ils sont sincères ou… « hypothétiques ».

 

La semaine prochaine: chronique de l’inquiétude d’être au monde de Camille de Toledo.

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